Publié le 12 juin 2014
Nom – dénomination du projet | Agricultural Model Intercomparison and Improvement Project (AgMIP) |
Durée
| Début - 1er mars 2012 |
| Fin – 28 février 2014 |
Zone (s) d’intervention
| Burkina Faso, Ghana, Mali, Niger, Sénégal |
Partenaires
| Quatre équipes de recherche dont une en Afrique de l’Ouest CIWARA (Climate change Impacts on West African agriculture : A Regional Assessment) |
Financements
| Bailleur (s) : Le projet est financé par DFID. |
| Montant : US$ 61 964. |
Equipe
| Ibrahima Hathie, Madické Niang |
But et Objectifs
| AgMIP est un projet de recherche pluridisciplinaire d’envergure mondiale (www.agmip.org) piloté par des chercheurs américains spécialistes du climat, de la modélisation des cultures et de la modélisation économique. En Afrique subsaharienne, le projet concerne quatre équipes de recherche dont une en Afrique de l’Ouest (CIWARA). L’IPAR est membre de l’équipe CIWARA qui comprend une quinzaine de chercheurs en provenance de 8 institutions de recherche. Sur la base des projections climatiques du milieu de ce siècle (2040-2069), les recherches visent à conduire dans les cinq pays ciblés (Burkina Faso, Ghana, Mali, Niger, Sénégal) une évaluation intégrée de l’impact du changement climatique sur l’agriculture. L’IPAR assure le leadership du volet économique de la recherche. |
Activités | Etat d’exécution : Le projet CIWARA a démarré par une phase pilote avec le choix de Nioro du Rip (Sénégal) qui disposait déjà de données socioéconomiques acquises grâce aux enquêtes RuralStruc. Avec les projections climatiques de 5 modèles de circulation atmosphérique (GCM), les modélisateurs de cultures ont simulé le comportement futur des cultures du mil, de l’arachide et du maïs sur la base des changements climatiques attendus. Trois modèles ont été utilisés (DSSAT, APSIM, SARA-H). Les résultats de ces simulations ainsi que des éléments de prospective sur les changements attendus de certaines variables économiques (prix, coûts, …) ont servi d’inputs aux simulations économiques et débouché sur une évaluation de l’impact du changement climatique sur l’agriculture et sur les populations (revenus moyens, revenus par tête, niveau de pauvreté). Le travail d’évaluation intégrée a ensuite été étendu à Kouthiala (Mali), Navrongo (Ghana). Compte tenu de l’absence de données socioéconomiques, les exercices au Burkina et au Niger ont concerné uniquement les volets climat et modèles de cultures. |
Produits et Publications
| Perspectives :
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