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Défis d’insertion et d’emplois des jeunes dans le monde rural : La Fao et l’Ipar à pied d’œuvre dans ce combat
Publié le 4 juin 2014
Face aux défis d’insertion et d’emplois des jeunes, précisément des jeunes dans le monde rural, la Fao et l’Initiative Prospective Agricole et Rurale (Ipar), en collaboration avec le Ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des Valeurs civiques, organisent un séminaire-débat sur le thème « Emploi des jeunes et Agriculture au Sénégal », ce vendredi 24 janvier 2014, à la Salle de Conférence « Almadies 1 », Pnud immeuble Wollé Ndiaye, à partir de 9h.
La rencontre qui entre dans le cadre des séminaires thématiques « fenêtre sur l’agriculture », qu’organisent pour la deuxième fois la Fao et l’Ipar , a pour objectif de faire un état des lieux des enjeux et des principales contraintes de l’emploi de jeunes dans le domaine de l’agriculture, ainsi que d’échanger sur les stratégies à développer pour une meilleure articulation Emploi des jeunes/Agriculture.
En prélude à la Conférence Internationale sur l’emploi des jeunes, prévue les 28 et 29 janvier 2014 à Dakar, la Fao et l’Ipar, en collaboration avec le Ministère de la Jeunesse, de l’Emploi et de la Promotion des Valeurs civiques, organisent un moment d’échanges, de réflexion et de partage sur le thème : « Emploi des jeunes et Agriculture au Sénégal ». Le séminaire-débat, qui est le deuxième du genre et qui entre dans le cadre des séminaires thématiques « fenêtre sur l’agriculture », sera l’occasion pour « approfondir la réflexion et les échanges sur l’insertion et l’emploi des jeunes dans le secteur agricole, les défis à relever et les stratégies à mettre en Å“uvre notamment » renseigne le communiqué à notre disposition.
La rencontre, qui se teindra le vendredi 24 janvier , à 9h,à la Salle de Conférence « Almadies 1 », 3ème étage, PNUD immeuble Wollé Ndiaye, Almadies, portera sur les questions clés que sont : « comment les politiques actuelles répondent à ces enjeux et quels sont les liens entre la politique agricole du Sénégal et la politique de l’emploi ; quel rôle les jeunes peuvent-ils jouer et quelles dispositions devraient être mise en Å“uvre pour qu’ils jouent un rôle dans l’atteinte de la souveraineté alimentaire au Sénégal ; quels sont les blocages qui empêchent l’insertion des jeunes dans le monde du travail et celui de l’agriculture en particulier ? »
Autant de questionnements qui camperont le débat, avec les objectifs suivants : « faire un état des lieux des enjeux et des principales contraintes de l’emploi des jeunes dans le domaine de l’agriculture ; échanger sur les stratégies à développer pour une meilleure articulation Emploi des jeunes/Agriculture pour passer d’une approche projet à une politique globale » rapporte le communiqué.
Pour se faire, le débat « se tiendra sous forme de séance plénière », introduite par le Ministère en charge de l’emploi. Ce dernier présentera « la politique initiée par l’Etat du Sénégal pour faire face au défi de l’emploi des jeunes », informe la note. Ensuite, sa communication introductive sera suivie par deux communications d’experts. Avec comme modérateur Eric Hazard, Coordonateur de la Campagne Cultivons à OXFAM, les contributions seront suivies de discussions et d’échanges.
Pour rappel, la FAO entretient une coopération avec le gouvernement du Sénégal depuis plusieurs décennies dans des domaines aussi variés que complémentaires tels que la modernisation et l’intensification des productions agricoles, la maîtrise de l’eau, la défense et la restauration de la fertilité des sols, l’aménagement des forêts naturelles, la gestion durable des ressources halieutiques et aquacoles, la promotion des activités des femmes et de l’emploi des jeunes, la gestion des risques de catastrophes, la promotion de la résilience, etc. Ce partenariat fécond et dynamique s’inscrit dans une stratégie nationale de développement agricole durable, avec comme principal objectif l’amélioration de la sécurité alimentaire des populations, la lutte contre la pauvreté, l’accroissement des revenus et des productions agro-sylvo-pastorales et halieutiques tout en préservant les écosystèmes et les sols.
Jean Michel DIATTA
Source : sud Quotidien